
Un classique cette blague là. En réalité on s’aime bien entre montagnards. C’est vrai, ils sont pauvres et leurs montagnes sont toutes petites, mais quand sera venu le temps de la libération du joug fiscal français, on leur laissera une place dans la grande Savoie indépendante prévue par nos camarades de lutte savoisiens.
Pour en revenir aux festivités de fin d’année, j’ai finalement cédé. D’abord c’est pas la taille qui compte paraît-il (je parle des montagnes), ensuite, ayant entendu parlé des 400 culs de cette banlieue annécienne qu’est Chambéry, je nourrissais quelques espérances peu avouables et sur lesquelles je ne m’épancherai pas (j’ai de la famille qui lit ce blog, bordel!).
Suite l’année prochaine.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire