mardi 6 janvier 2009

Récit de fait

Ca y est, une fois de plus j’ai survécu à la magie des fêtes de fin d’année: je n’ai pas commis de meurtre de masse à la FNAC, je n’ai pas arraché de déco de Noël, et j’ai même résisté à l’impulsion de voler un des pères-noël grimpeurs qui pullulent sur les balcons des braves gens pour lui passer sa corde autour du cou et le pendre à mon balcon mains et pieds ligotés. Enfin, la trève des confiseurs ne correspondant pas à celle des confits tout court, je me dois de vous rassurer: cette année, contrairement à la dernière, mon système digestif ne m’a pas lâché ce qui apporte la preuve finale que mon estomac est connecté à celui de Théo mais que ce système de vases communicants a seulement une porté de quelques centaines de kilomètres. En dehors de ces considérations ficto-anatomiques, il va sans dire que j'ai gustativement profité de ces fêtes, je vous épagnerai néanmoins toutes les archives pattés des deux dernières semaines.

Dernier point, le changement de calendrier s’est fait dans un refuge en face de Courch’ et non à Chambéry comme annoncé précédemment, vous vous en prendrez à Julia si vous êtes pas content de la désinformation. Bien sûr, on s’est amusé puérilement avec la neige: je me suis vaillamment battu à coups de boules de neige sans gants et Théo s’est même permis de faire de la luge avec la twingo de ses parents - quel grand gamin celui-là!

1 commentaire:

  1. ca s'appelle du patinage artistique sur route monsieur!

    et avoue qui si j'avais réussi à rentrer mon double axel ça aurait été la classe.

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